Gendarme Jean GAMONET

Plaque posée sur l’ancienne gendarmerie de Séderon, en dessous de l’appartement qu’il habitait avec sa femme Élise.

Le 21 février au soir, Feldgendarmerie et Gestapo investissent le village et coupent les communications. Ils interrogent les gendarmes sur le Capitaine Beyne et les camps de réfractaires des environs.

Le 22 février, de retour des combats et des exactions faites sur Eygalayes et Izon- la-Bruisse, Feldgendarmerie et Gestapo s’arrêtent de nouveau à la gendarmerie de Séderon. Jean GAMONET est désigné comme ayant fréquenté le maquis par un traître infiltré.

Il est interrogé à l’hôtel Bonnefoy. Il ne parle pas et est exécuté d’une rafale de mitraillette dans le dos entre le monument aux Morts et l’église.

Contribution et crédit photo Bernard PERRIN

Plaque posée sur l’ancienne gendarmerie de Séderon, en dessous de l’appartement qu’il habitait avec sa femme Élise.Le 21 février au soir, Feldgendarmerie et Gestapo investissent le village et coupent les communications. Ils interrogent les gendarmes sur le Capitaine Beyne et les camps de réfractaires des environs.Le 22 février, de retour des combats et des exactions faites sur Eygalayes et Izon- la-Bruisse, Feldgendarmerie et Gestapo s’arrêtent de nouveau à la gendarmerie de Séderon. Jean GAMONET est désigné comme ayant fréquenté le maquis par un traître infiltré.Il est interrogé à l’hôtel Bonnefoy. Il ne parle pas et est exécuté d’une rafale de mitraillette dans le dos entre le monument aux Morts et l’église.Contribution et crédit photo Bernard PERRIN