Typhoon MN310

par , Grasset Jacques

En mémoire du pilote de Typhoon MN310 du 439 Squadron RCAF, MOEN Ronald Olaf abattu par la FLAK.

C'est le 12 Aout 1944 à l'age de 22ans qu'il perdit la vie dans ce prés qui est sa sépulture.

L'aéronef Typhoon MN310, piloté par l'O R. O. Moen du 439e Escadron de l'ARC, a quitté la base à 13h 55 le  12 aôut 1944 pour mener une attaque de bombardement en piqué sur un pont à Philbert-sur-Orne, en France. L'avion de Moen a été touché par une légère fusée éclairante alors qu'il tournait autour de la cible à 4000 pieds, et on a vu de la fumée provenant du radiateur. Il a ensuite volé directement au nord, accompagné d'un pilote de sa section. Moen a largué son toit coupé et sa porte latérale environ 1000 pieds et il semblait tenter un atterrissage forcé, mais l'avion a semblé décrocher à environ 50 pieds, puis il a viré s tribord et a heurté le sol avec l'aile tribord. L'appareil a explosé au moment de l'impact, soit environ 14 h 20, juste au sud de Saint-Pierre-La-Vieille, en France. Moen n'a pas été vu pour se sauver.

S/L Fiset, PLC, a écrit à la mère de Moen le 28 septembre 1944 pour lui donner des détails sur les circonstances de la mort de son Fils. " Ronald était un garçon merveilleux, un bon pilote et une partie intégrante de cet escadron, dans le vrai sens du terme. Il n'y mais eu de moment ennuyeux avec lui, car il était l'humoriste et l'artiste de l'escadron. A côté de vous, nous ressentons le Voir les photos pour des exemples de ses pitreries."

Une lettre dans les     de Moen indiquait que son frère, Peter, voulait contacter des amis et leur parler.

Le jourart de Moen a été retrouvé dans ses dossiers à Bibliothèque et Archives Canada, à Ottawa. Il semble que la famille avait déménagé et que les journaux de bord ne pouvaient pas être livrés. Les vêtements de Moen ont été donnés.

En mars 1946, une lettre écrite par G/C W. A. Dicks au révérend D. MacDonad de Grace Church, Wutana, de Saskatoon (Saskatchewan), a signalé que des parties d'un aéronef identifié comme étant celui que Moen pilotait au moment où il a été porté disparu avaient été retrouvées près de La Chapelle Engerbold. " Selon le maire de cette ville, le crash s'est produit dans la journée alors que les combats se déroulaient près du village et les quelques personnes qui restaient ne sont pas sorties pour enquêter. Quelques temps plus tard, les restes de l'avion ont été trouvés dispersés sur une large zone et les dommages à la maison et les cultures ont également été réparties sur une zone étonnamment grande. Malheureusement, aucune trace du pilote n'a pu êtr trouvée, bien que des morceaux d'un parachute de soie et d'un pantalon de tenue de combat aient été trouvés parmi l'épave. Par conséquent, on ne peut que supposer que Moen a été soufflé en morceaux dans l'explosion. Il est souhaitable que cette information soit transmise à M. et Mme Moen de la manière la plus sympathique possible et on estime que cela pourrait être fait par une visite personnelle. Comme l'indiquent les registres de ces quartiers généraux, F/O Moen était membre de l'Église d'Angleterre; peut-être voudriez-vous transmettre ce rapport au pasteur local ou l'accompagner chez ses parents.

Crédit Photo et contribution : Grasset Jacques.

En mémoire du pilote de Typhoon MN310 du 439 Squadron RCAF, MOEN Ronald Olaf abattu par la FLAK.C'est le 12 Aout 1944 à l'age de 22ans qu'il perdit la vie dans ce prés qui est sa sépulture.L'aéronef Typhoon MN310, piloté par l'O R. O. Moen du 439e Escadron de l'ARC, a quitté la base à 13h 55 le 12 aôut 1944 pour mener une attaque de bombardement en piqué sur un pont à Philbert-sur-Orne, en France. L'avion de Moen a été touché par une légère fusée éclairante alors qu'il tournait autour de la cible à 4000 pieds, et on a vu de la fumée provenant du radiateur. Il a ensuite volé directement au nord, accompagné d'un pilote de sa section. Moen a largué son toit coupé et sa porte latérale environ 1000 pieds et il semblait tenter un atterrissage forcé, mais l'avion a semblé décrocher à environ 50 pieds, puis il a viré s tribord et a heurté le sol avec l'aile tribord. L'appareil a explosé au moment de l'impact, soit environ 14 h 20, juste au sud de Saint-Pierre-La-Vieille, en France. Moen n'a pas été vu pour se sauver.S L Fiset, PLC, a écrit à la mère de Moen le 28 septembre 1944 pour lui donner des détails sur les circonstances de la mort de son Fils. Ronald était un garçon merveilleux, un bon pilote et une partie intégrante de cet escadron, dans le vrai sens du terme. Il n'y mais eu de moment ennuyeux avec lui, car il était l'humoriste et l'artiste de l'escadron. A côté de vous, nous ressentons le Voir les photos pour des exemples de ses pitreries.Une lettre dans les de Moen indiquait que son frère, Peter, voulait contacter des amis et leur parler.Le jourart de Moen a été retrouvé dans ses dossiers à Bibliothèque et Archives Canada, à Ottawa. Il semble que la famille avait déménagé et que les journaux de bord ne pouvaient pas être livrés. Les vêtements de Moen ont été donnés.En mars 1946, une lettre écrite par G C W. A. Dicks au révérend D. MacDonad de Grace Church, Wutana, de Saskatoon (Saskatchewan), a signalé que des parties d'un aéronef identifié comme étant celui que Moen pilotait au moment où il a été porté disparu avaient été retrouvées près de La Chapelle Engerbold. Selon le maire de cette ville, le crash s'est produit dans la journée alors que les combats se déroulaient près du village et les quelques personnes qui restaient ne sont pas sorties pour enquêter. Quelques temps plus tard, les restes de l'avion ont été trouvés dispersés sur une large zone et les dommages à la maison et les cultures ont également été réparties sur une zone étonnamment grande. Malheureusement, aucune trace du pilote n'a pu êtr trouvée, bien que des morceaux d'un parachute de soie et d'un pantalon de tenue de combat aient été trouvés parmi l'épave. Par conséquent, on ne peut que supposer que Moen a été soufflé en morceaux dans l'explosion. Il est souhaitable que cette information soit transmise à M. et Mme Moen de la manière la plus sympathique possible et on estime que cela pourrait être fait par une visite personnelle. Comme l'indiquent les registres de ces quartiers généraux, F O Moen était membre de l'Église d'Angleterre; peut-être voudriez-vous transmettre ce rapport au pasteur local ou l'accompagner chez ses parents.Crédit Photo et contribution : Grasset Jacques.