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Stp 109 Düsseldorf

A partir de 1942 des éléments défensifs furent implantés sur le Cap Blanc-Nez, dans le cadre de la création du Mur de l'Altlantique, cet ensemble de fortification destiné à empêcher un débarquement allié sur les côtes occidentales de l'Europe, de la Norvège au Pays Basque français. Considérablement renforcé sous l'impulsion du maréchal Rommel, les défenses du rivage du Pas-de-Calais constituaient en 1944, un obstacle redoutable qui incita les stratèges alliés à choisir la Normandie pour prendre pied sur le continent.

Empêcher le débarquement allié :
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Cap Blanc-Nez a constitué un site stratégique de première importance
 Après l'échec de la Luftwaffe (l'armée de l'Air allemande) lors de la bataille d’Angleterre et l'abandon du projet de Hitler de débarquer en Grande-Bretagne (l'opération  Lion de mer ), à automne 1940, les Allemands installent des postes d'observation et des équipements radio-électriques (radars, stations découte  pour surveiller le passage des navires ennemis dans le détroit et repérerl'arrivée des escadrilles de la Royal Air Force.
En contrebas, en peut voir le socle en béton d'un radar de Poursuite Würzburg; il portait une antenne métallique circulaire de 7.50 mètres de diamètre, capable de détecter les formations d'avions alliés au-dessus du Kent, jusqu'à une distance de 80km.
Sous vos pieds:  3 Postes d'observation, greffés dans la falaise au pied de la Dover Patrol, dont les  visières regardent vers l'Angleterre servaient au contrôle visuel du détroit et des côtes anglaises à l'aide de puissante binoculaires, mais aussi à l'acquisition d'objectifs pour les canons de l'énorme batterie Lindermann toute proche. 

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