Stèle Plozévet 4 Août 1944

Stèle en hommage à Daniel Bourdon, Pierre Brasquer, Jean Le Goff, Henri Mourrain exécutés  le 4 août 44 .
Alors que les Allemands ont l'ordre de se replier sur la presqu’île de Crozon , les rumeurs sur l'arrivée des Américains qui sont à Quimper vont bon train et engendrent une liesse qui amènera à désarmer un soldat Allemand qui était à vélo. Ce soldat ira dénoncer l'altercation  à l'Oberleutnant Kuschakanof qui commande une unité de soldats Caucasiens à Kerveillant. Arrivé à Plozévet les soldats de Kuschakanof font la jonction avec une colonne qui se dirigeait vers Pont-l'Abbé  dans le sang.
Daniel Bourdon est sorti d'un commerce où il s'était réfugié et est abattu.
Jean Le Goff arrivant de Quimper ignorant les événements sort de son véhicule et est abattu alors qu'il avait les mains en l'air.
Henri Mourrain  est tué par une grenade lancée au travers d'une vitre de sa menuiserie.
Enfin le gendarme Pierre Brasquer arrivant lui aussi de Quimper, est blessé au bras et se réfugie dans une maison où une grenade lancée par les troupes Allemandes le blessera gravement au ventre. Il décédera le lendemain.
Ce bain de sang finira grâce à l'intervention d'un officier Allemand qui ordonna à Kuschakanof de regagner sa caserne.
Contribution et crédit photo Philippe Boudot.

Stèle en hommage à Daniel Bourdon, Pierre Brasquer, Jean Le Goff, Henri Mourrain exécutés le 4 août 44 .Alors que les Allemands ont l'ordre de se replier sur la presqu’île de Crozon , les rumeurs sur l'arrivée des Américains qui sont à Quimper vont bon train et engendrent une liesse qui amènera à désarmer un soldat Allemand qui était à vélo. Ce soldat ira dénoncer l'altercation à l'Oberleutnant Kuschakanof qui commande une unité de soldats Caucasiens à Kerveillant. Arrivé à Plozévet les soldats de Kuschakanof font la jonction avec une colonne qui se dirigeait vers Pont-l'Abbé dans le sang.Daniel Bourdon est sorti d'un commerce où il s'était réfugié et est abattu.Jean Le Goff arrivant de Quimper ignorant les événements sort de son véhicule et est abattu alors qu'il avait les mains en l'air.Henri Mourrain est tué par une grenade lancée au travers d'une vitre de sa menuiserie.Enfin le gendarme Pierre Brasquer arrivant lui aussi de Quimper, est blessé au bras et se réfugie dans une maison où une grenade lancée par les troupes Allemandes le blessera gravement au ventre. Il décédera le lendemain.Ce bain de sang finira grâce à l'intervention d'un officier Allemand qui ordonna à Kuschakanof de regagner sa caserne.Contribution et crédit photo Philippe Boudot.